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L’EPS (Education physique et sportive) est une discipline académique, avec ses programmes et ses évaluations.
Nous sommes loin des cours de gym d’autrefois, des images ou soit on jouait au ballon soit on souffrait au cours d’exercices quasiment militaires.
C’était souvent au gré de l’enseignant : on prenait l’air et les jeunes appréciaient aussi une liberté que ne leur donnaient pas les autres disciplines.

Nous avons beaucoup apprécié notre rencontre avec l’un des coordinateurs, Laurent Drillet, enseignant depuis 21 ans à Tivoli, qui a recontextualisé sa matière, parlant bien sûr au nom de ses collègues. Avec beaucoup d’intelligence, il a resitué sa discipline dans l’histoire, dans celle de Tivoli et développé comment elle prenait sa part dans le Projet éducatif et pédagogique de l’établissement, qui lui-même est au service (et se nourrit) du Projet ignatien. Les directives de l’Education ont évolué au fil du temps, demandant à chaque fois de les adapter, de les inculturer au Projet de Tivoli.

Ainsi, des images circulent d’exercices très militaires sur la cour dans années 30. Il s’agissait à l’époque de sport en pleine nature : on misait au sortir de la Grande guerre sur la forme physique et la performance.
Dans les années 60, s’est développé après les échecs aux Jeux olympiques l’esprit de compétition, les meilleurs seulement défendaient les couleurs de l’établissement.
Aujourd’hui, est toujours privilégié le goût (cher à Ignace) de l’effort mais chacun est invité à son niveau à donner le meilleur de lui-même (magis).
Chaque élève touche à toutes les activités proposées dans l’établissement. Il les découvre selon deux cycles au cours de sa scolarité.
Il lui est donné le goût de chaque discipline : il peut en approfondir une à l’AST, le mercredi après-midi. Le sport n’est pas une fin en soi, c’est un moyen d’éducation. Ce n’est plus la seule performance qui est visée.
Il s’agit d’hygiène du corps, d’hygiène de vie. Sont visés en même temps le vivre ensemble, la solidarité, le respect de l’autre et des règles. Et tout ça au cours de pratiques individuelles et collectives.
On peut facilement imaginer ce qui se joue dans la lutte ou dans l’exercice au mur d’escalade où l’élève qui est au sol, assure la sécurité de son camarade grimpeur. Ainsi, on intègre tous les élèves avec bienveillance et exigence ; ils font l’expérience de nombreux sports et peuvent en approfondir l’un ou l’autre. Les installations avec ses cinq vestiaires (filles et garçons)) permettent à 5 groupes classes de travailler ensemble.
On imagine le planning serré qu’il faut établir en début d’année pour qu’il soit aussi compatible avec les autres disciplines et des activités extérieures (type piscine partagée avec les autres établissements). Le vendredi après-midi est réservé au primaire, dont l’une des activités principales est le hockey qu’il pratique avec les Girondins de Bordeaux.

L’EPS a sa part dans les activités caritatives de l’établissement. Il organise le Cross Ela « Mets tes baskets et vaincs la maladie ». 30.000€ ont été récupérés l’an passé. Le Cross est aussi l’occasion de sensibiliser les élèves au handicap.

L’équipe enseignante se charge aussi de l’évaluation de l’EPS pour le Baccalauréat, un contrôle continu au cours de trois évaluations. L’évaluation se fait à partir d’un barème précis, chaque enseignant responsable d’une classe est assisté d’un collègue, ce qui permet échange et régulation avant les validations.

Il suffit d’ajouter que des enseignants d’EPS s’engagent dans la charge de professeurs principaux pour conclure que l’EPS est vraiment une discipline à part entière, une discipline d’excellence, essentielle, qui compte et qui en plus a bonne presse auprès des élèves.

CULTURE

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L’EPS (Education physique et sportive) est une discipline académique, avec ses programmes et ses évaluations. Nous sommes loin des cours de gym d’autrefois, des images ou soit on jouait au ballon soit on souffrait au cours d’exercices quasiment militaires. C’était souvent au gré de l’enseignant : on prenait l’air et les jeunes appréciaient aussi une liberté que ne leur donnaient pas les autres disciplines.

Nous avons beaucoup apprécié notre rencontre avec l’un des coordinateurs, Laurent Drillet, enseignant depuis 21 ans à Tivoli, qui a recontextualisé sa matière, parlant bien sûr au nom de ses collègues. Avec beaucoup d’intelligence, il a resitué sa discipline dans l’histoire, dans celle de Tivoli et développé comment elle prenait sa part dans le Projet éducatif et pédagogique de l’établissement, qui lui-même est au service (et se nourrit) du Projet ignatien.

Les directives de l’Education ont évolué au fil du temps, demandant à chaque fois de les adapter, de les inculturer au Projet de Tivoli.

Ainsi, des images circulent d’exercices très militaires sur la cour dans années 30. Il s’agissait à l’époque de sport en pleine nature : on misait au sortir de la Grande guerre sur la forme physique et la performance. Dans les années 60, s’est développé après les échecs aux Jeux olympiques l’esprit de compétition, les meilleurs seulement défendaient les couleurs de l’établissement. Aujourd’hui, est toujours privilégié le goût (cher à Ignace) de l’effort mais chacun est invité à son niveau à donner le meilleur de lui-même (magis). Chaque élève touche à toutes les activités proposées dans l’établissement. Il les découvre selon deux cycles au cours de sa scolarité. Il lui est donné le goût de chaque discipline : il peut en approfondir une à l’AST, le mercredi après-midi.

Le sport n’est pas une fin en soi, c’est un moyen d’éducation. Ce n’est plus la seule performance qui est visée. Il s’agit d’hygiène du corps, d’hygiène de vie. Sont visés en même temps le vivre ensemble, la solidarité, le respect de l’autre et des règles. Et tout ça au cours de pratiques individuelles et collectives. On peut facilement imaginer ce qui se joue dans la lutte ou dans l’exercice au mur d’escalade où l’élève qui est au sol, assure la sécurité de son camarade grimpeur. Ainsi, on intègre tous les élèves avec bienveillance et exigence ; ils font l’expérience de nombreux sports et peuvent en approfondir l’un ou l’autre. Les installations avec ses cinq vestiaires (filles et garçons)) permettent à 5 groupes classes de travailler ensemble. On imagine le planning serré qu’il faut établir en début d’année pour qu’il soit aussi compatible avec les autres disciplines et des activités extérieures (type piscine partagée avec les autres établissements). Le vendredi après-midi est réservé au primaire, dont l’une des activités principales est le hockey qu’il pratique avec les Girondins de Bordeaux.

L’EPS a sa part dans les activités caritatives de l’établissement. Il organise le Cross Ela « Mets tes baskets et vaincs la maladie ». 30.000€ ont été récupérés l’an passé. Le Cross est aussi l’occasion de sensibiliser les élèves au handicap.

L’équipe enseignante se charge aussi de l’évaluation de l’EPS pour le Baccalauréat, un contrôle continu au cours de trois évaluations. L’évaluation se fait à partir d’un barème précis, chaque enseignant responsable d’une classe est assisté d’un collègue, ce qui permet échange et régulation avant les validations.

Il suffit d’ajouter que des enseignants d’EPS s’engagent dans la charge de professeurs principaux pour conclure que l’EPS est vraiment une discipline à part entière, une discipline d’excellence, essentielle, qui compte et qui en plus a bonne presse auprès des élèves.

Saint-Joseph de Tivoli

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